Orle soi ne se constitue que dans le dialogue et dans l’action. Il existe d’abord dans un courage de faire entendre sa voix, ce qui veut dire, dans le fait de prononcer une parole Laréflexion et l’action peuvent être envisagées comme deux façons complémentaires de percevoir ce que vous êtes. L’une est mentale, l’autre est physique. Mais il manque deux autres dimensions pour compléter votre Ladissertation philosophique est un exercice de réflexion à la fois personnelle et informée. personnelle parce qu'il s'agit de réfléchir par soi-même dans le but de répondre à la question posée. informée parce qu'il s'agit à partir de sa réflexion de retrouver des auteurs de philosophie, de nourrir ses propos de référence à des mSyF. Revue "Tendrel" Retrouvez sur cette page des enseignements parus dans la revue "Tendrel" éditée par Dhagpo Kagyu Ling jusqu'en 2002. Se comprendre soi-même et s’ouvrir aux autres Jigmé Rinpoché Il y a de nombreuses façons d'aller à la rencontre de nous-mêmes et de découvrir qui nous sommes; dans le dharma, il y a aussi différents buts et différentes motivations. Pour trouver le chemin qui sera le nôtre, la première étape nécessaire sera de fonder la compréhension de notre esprit sur l'enseignement du Bouddha afin d'avoir une vision claire de nous-mêmes et des autres. Pour relier cet enseignement avec ce que nous sommes et notre activité quotidienne, nous commençons par l'étude et la réflexion. Notre projet est de vivre selon les règles du monde puis d'intégrer une vie spirituelle à travers une pratique concrète. Pour cela il est nécessaire de savoir où nous en sommes, quelle direction nous devons prendre et quel est le fruit attendu sur cette voie. Une fois que nous sommes clairs sur notre situation, notre destination et le sens de ce projet, nous pouvons nous engager concrètement sur la voie spirituelle. Le désir d'une vie spirituelle S'il est un terme qu'il nous faut clarifier, c'est justement celui de "spiritualité". Il est clair que notre souhait est de suivre une voie spirituelle, mais chacun de nous a sa version de ce qu'est le chemin spirituel. Si nous y réf1échissons, nous sommes confrontés à quelque chose de très vaste et il peut en résulter de la confusion car il n'est pas facile de cerner une telle notion. La question qu'il est nécessaire de se poser est "Pourquoi voudrais-je que ma vie soit spirituelle ?" La réponse va d'abord être individuelle, déduite de notre expérience passée et de notre situation actuelle. Cette situation est telle que si nous laissons l'ignorance en l'état, il n'y a pas de raison qu'elle s'arrête et que nous nous en libérions naturellement. Tant que l'esprit est dans l'ignorance, nous vivons une expérience de souffrance et d'insatisfaction et c'est ce qui va faire naître en nous le désir de sortir de cette ignorance. Nous pratiquons une voie spirituelle pour nous libérer de l'ignorance car nous voulons arrêter l'expérience de la souffrance. Voilà le but du chemin "se libérer de l'ignorance pour dissiper la souffrance". Ensuite, d'autres interrogations s'élèvent "que veut dire se libérer, et du reste, qu'est-ce que l'ignorance ?" Il est nécessaire de se poser ces questions car dès l'instant où nous aurons une vision d'ensemble de la voie, nous aurons des raisons justes de la parcourir. Sinon, nous restons sur une version personnelle de la spiritualité. Si on ne se libère pas de l'ignorance, on reste dans le samsara. Cela signifie que si nous espérons réaliser un but ordinaire, nous obtiendrons un bienfait immédiat, mais tôt ou tard, nous retournerons à notre situation d'origine. Quels que soient les buts ordinaires que nous souhaitons atteindre, nous n'avançons pas réellement et nous restons finalement dans la confusion. La pratique du dharma nous permet au contraire d'aller au-delà de ce cercle vicieux pour ne pas, à chaque fois, revenir à la case départ. L'approche du dharma Nous devons partir de nous-mêmes et de notre situation. Le problème, quand nous abordons le dharma, c'est que nous sommes en permanence en train de catégoriser et de ne voir qu'une partie, qu'un seul aspect des choses. Par exemple, quand nous voyons tel pratiquant heureux, nous apprécions le bouddhisme, par contre, si nous rencontrons un pratiquant déprimé qui délaisse sa pratique, notre impression n'est pas bonne. Nous approchons les choses uniquement à partir de certains aspects, à partir des apparences. Nous ne sommes pas très clairs car nos buts Sont toujours à court terme, temporaires et relatifs. Nous entendons parler de la compassion, de la sagesse et de la méditation et quand nous pratiquons, nous nous sentons un peu mieux, les problèmes se résolvent et nous sommes contents. Nous sommes heureux de pratiquer le dharma mais en même temps, nous n'en voyons pas les enjeux réels, de même que nous souhaitons être en bonne santé, mais nous mangeons n'importe quoi. Notre attention aux choses est occasionnelle si nous voulions être vraiment stricts, vraiment cohérents avec ce que nous voulons, ce serait beaucoup plus difficile. Si nous ne comprenons pas le sens essentiel du dharma, nous allons apprécier le dharma mais nous n'allons pas vraiment nous y investir de façon juste et il n'en résultera rien. Dans un premier temps, il est donc nécessaire de nous observer au quotidien, de commencer à prendre conscience de nos actes, de nos paroles, de nos pensées et de la manière dont nous rentrons en relation avec les différentes situations. Demandons-nous ce que nous voulons faire de tout cela avant même de vouloir accomplir ou transformer quoi que ce soit. Essayons de voir comment nous fonctionnons à l'intérieur de nous-mêmes et quelles sont nos motivations réelles, ce qui nous permettra de trouver une réponse de l'intérieur. Si nous plaquons sur nos questions une réponse venant de l'extérieur, cela générera de la confusion. Comprendre le sens du dharma Nous sommes animés par de nombreuses tendances, ce qui fait s'élever en nous des questions. Lorsque nous lisons ou nous écoutons un enseignement, nous sommes d'accord avec les instructions, la vision et les méthodes proposées. Mais aurons-nous le temps de les mettre en pratique ? Peut-être que nous avons trop à faire ou peut-être nous en sentons-nous incapables ? Dans l'approche de l'enseignement, il y a toujours trois étapes l'écoute de l'enseignement, la réflexion sur l'enseignement et la mise en pratique de la méditation. La deuxième phase, la réflexion, n'est pas facile. Au-delà du sens apparent et littéral qui est aisé à comprendre, il y a un sens profond dans le dharma qui est difficile à atteindre et à intégrer. Il est important de se demander, à la lumière du dharma, quelles causes Vont amener quelles circonstances. Si nous réfléchissons de cette façon, les doutes et les incertitudes Vont se dissiper progressivement. Pour induire ce processus de clarification sur nous- mêmes et sur ce que nous vivons, il est préférable de fréquenter la sangha, la communauté des pratiquants et des guides sur la voie. Cette communauté est essentielle parce qu'elle nous permet de communiquer, d'échanger, d'argumenter et d'éclairer notre expérience à partir de l'expérience des autres. Ainsi nous clarifions nos idées, notre vision des choses, et nous enrichissons notre compréhension. La pratique du dharma, la mise en œuvre des enseignements, et la rencontre avec la sangha, cet échange avec les autres pratiquants, tout cela va nous amener à voir beaucoup plus clairement ce que nous sommes. L'enseignement du Bouddha est là pour nous aider à nous comprendre nous-mêmes afin de mieux comprendre les autres. Mais si nous mettons l'enseignement en pratique sans vraiment faire le détour de la réflexion, nous allons rencontrer des difficultés pour trouver un sens véritable à cette démarche. Pour certains, le sens est compris directement et pour d'autres, il est nécessaire de réfléchir plus longuement. Cependant, il convient d'être attentifs car les approches plus élaborées intellectuellement peuvent avoir un attrait distrayant et être en fait une perte de temps. Du point de vue de la mise en œuvre concrète de l'enseignement, il est important d'aller à l'essentiel, et l'essentiel est simple. Il ne faut pas confondre complication et profondeur, sophistication et profondeur. Parfois, les instructions nous paraissent trop simples, nous ne sommes pas vraiment attentifs, nous les oublions ou nous ne les mettrons pas en pratique. Pour que le dharma ait un sens pour nous, il faut toujours le comprendre par rapport à nous-mêmes et à notre propre expérience. Il est donc nécessaire de nous comprendre nous-mêmes. Souvent, nous perdons le sens à cause d'une forme de lassitude. La première fois que nous écoutons le dharma, nous sommes étonnés, secoués même et nous sommes décidés à le mettre en œuvre. Puis nous réécoutons les enseignements et finalement, nous comprenons que c'est toujours la même chose qui est répétée. Ce sont toujours les mêmes instructions qui sont données et, progressivement, nous nous y habituons et nous oublions le sens réel de notre démarche. C'est pour cela que parfois nous commençons à chercher des approches plus sophistiquées car elles suscitent en nous un regain d'intérêt. Mais dans ce processus, nous perdons l'intérêt pour l'essentiel. Pour nous comprendre nous-mêmes, il ne s'agit pas d'obéir à des obligations et à des interdits mais plutôt de nous inspirer des grands lamas. Si nous lisons les biographies de ces lamas, nous comprenons qu'au début ils sont comme nous, ils ont écouté le dharma puis ils l'ont mis en pratique. Il est important de suivre leur exemple et de conserver ce souhait naturel de parcourir la même voie, car ces maîtres sont une source d'inspiration qui nous montre la voie juste. Garder le sens du dharma Parmi les enseignements, il yen a un à propos de la précieuse existence humaine. Nous avons une précieuse existence humaine ce n'est pas une idée, c'est quelque chose de sérieux, d'essentiel même. Elle est précieuse dans le sens où nous avons, maintenant, la capacité et les circonstances pour aller à l'essentiel, pour accomplir ce qui est important dans cette vie. Lorsque le corps s'éteint, l'esprit continue son voyage et rien ne va arrêter l'esprit; par contre, les conditions favorables pour atteindre l'éveil durant ce voyage ne sont qu'occasionnelles. Une vie, cela ne dure pas si longtemps et le temps passe plus vite que nous le pensons. Cette vie-ci est importante, mais les vies suivantes le sont aussi. C'est une vue à plus long terme qui demande un peu de réflexion. Acceptons cette perspective plus vaste pour comprendre notre condition actuelle. Se préoccuper des vies suivantes peut paraître égoïste mais c'est en fait une démarche très pragmatique. C'est nous qui générons ce que nous vivrons après, c'est nous qui allons créer nos vies futures à partir de ce que nous sommes en train de faire et de la vision que nous développons maintenant. Soyons concrets et pragmatiques et voyons quelles sont nos peurs par rapport à l'avenir. Commençons par avoir de la compassion et de la bienveillance envers nous-mêmes. Prenant conscience de cela, notre vision va changer et nous allons agir autrement. Nous allons essayer d'utiliser ce que nous vivons maintenant de façon à être bienfaisants pour les autres et pour nous-mêmes. Nous allons faire de notre mieux pour éviter les actes qui engendrent de la souffrance et tout mettre en oeuvre pour dissiper la confusion. En d'autres termes, nous n'allons pas nous laisser piéger par l'ignorance et nous deviendrons de moins en moins dépendants du karma. Si nous allons au-delà des tendances dues au karma, notre action sera de plus en plus juste. Une action juste, dans le dharma, c'est une action qui prépare l'étape suivante. C'est une action qui n'est pas faite simplement pour elle-même, mais qui est faite dans la perspective de créer quelque chose de bénéfique pour nous et pour les autres. Avec cette compréhension-là, les complications que nous rencontrons au quotidien nous perturbent beaucoup moins. Etant moins perturbé, l'esprit est plus libre et plus disponible. Cette existence est précieuse dans le sens où nous avons le choix de la direction que nous voulons prendre. Ce choix va se faire sur la base de notre compréhension de ce qui est important. C'est pour cela que le point de départ de la pratique du dharma consiste à méditer sur la précieuse existence humaine, sinon nous restons dans une approche superficielle. Approfondir le sens du dharma Dans l'état intermédiaire, après le moment de la mort, l'expérience est complètement solitaire; nous sommes seuls, dans la confusion et il n 'y a personne pour nous aider. C'est pour cela que les grands maîtres du passé nous ont expliqué combien il est important de nous connaître nous-mêmes et d'appréhender le chemin par nous-mêmes. Nous serons toujours aussi seuls, mais c'est une solitude assumée qui nous permettra de continuer le chemin de façon moins confuse. Ensuite, si nous agissons négativement, nous générons des causes de souffrance c'est un processus parfois difficile à percevoir. Même si nous sommes d'accord avec l'enseignement, nous ne sommes pas lucides au point d'être constamment conscients de ce qui se passe. Par exemple, les vaches sont malades et il faut faire attention à la viande que nous mangeons si nous ne voulons pas devenir malades nous aussi. Nous faisons bien le lien entre la maladie de la vache et la viande et nous pouvons décider d'arrêter d'en manger. Dans de telles circonstances, nous sommes lucides sur le lien entre la cause et l'effet. Cependant, alors que nous pensons qu'il faut faire attention à ne pas produire de karma négatif pour éviter de générer de la souffrance, nous n'arrêtons pas pour autant d'agir négativement car nous n'avons pas encore intégré le lien entre la cause et l'effet. La seule façon d'intégrer la connexion entre ce que nous expérimentons et la cause créée antérieurement, est d'approfondir encore le sens de l'enseignement en y réfléchissant. De même, ce n'est pas facile de définir ce qu'est une action positive. Observant le type d'actions que nous exprimons à travers le corps, la parole et l'esprit, nous allons être de plus en plus sincères. Le samsara n'est pas quelque chose d'extérieur à nous-mêmes, il est en nous. C'est nous qui le générons à travers nos actions et si nous ne sommes pas conscients de ce qu'est le cycle des existences, nous ne pourrons pas nous en libérer. Nous pourrions utiliser le dharma pour aménager notre vie dans le samsara chaque fois que se présente une difficulté ou un problème, alors que si nous prenons conscience du type d'actions que nous accomplissons, nous devenons de plus en plus clairs, lucides et sincères sur nous-mêmes et nos choix. C'est ce qu'ont fait les grands bodhisattvas. Ils ont été conscients des effets de leurs actions et ont transformé leur attitude. Cette sincérité va nous amener à nous ouvrir aux autres. Conscients du fonctionnement du samsara, nous reconnaissons la situation de l'autre, comment est produite la souffrance de l'autre la bienveillance s'élève naturellement et une attitude d'amour et de compassion prend place dans l'esprit. L'état d'esprit juste est fondé sur la compréhension de notre propre situation et elle se développe avec la vigilance. Si nous voulons nous libérer de la confusion, il est nécessaire de développer cette compréhension de nous-mêmes qui induit une réelle bienveillance, sinon nous allons tourner en rond dans le samsara. Avec le développement de la compassion, il est beaucoup plus aisé de rencontrer nos émotions et de les utiliser sur le chemin. De plus, au-delà des émotions, la compassion nous permet de dissiper l'ignorance et de mieux comprendre sa nature. Par exemple, du point de vue de la valeur, il y a une différence entre l'humain et l'animal. Mais du point de vue de l'expérience personnelle, il n'y a pas de différence entre les deux l'expérience de la souffrance est la même. Vous avez prévu d’offrir des dragées et vous êtes à la recherche d’une boite à dragées à faire vous-même ? Pour vous aider à faire de jolis petits contenants on vous a sélectionné des tutos de boite à dragées mais aussi de pochette, sachet et autres contenants à faire soi-même. Les boites à dragées à faire vous-même On commence notre liste avec des tutos de vraies boites à dragées DIY car je trouve que c’est le plus pratique pour mettre les dragées et que vos invités repartent avec. Dans la suite de l’article je vous montrerai comme faire d’autres contenants comme des cornets. Une jolie boite à dragée DIY en kraft Comme vous pouvez le voir sur cette photo le tuto parle principalement de boite à dragées pour un baptême d’où ce charmant petit body. Mais vous pouvez très simplement remplacer ce body par la forme de votre choix, mettre le tampon de votre mariage sur la boite ou encore un petit mot. L’important dans cet article est qu’il vous montre étape par étape avec du matériel très simple des feuilles A4 de papier Kraft, des ciseaux… comment arriver à un résultat de boite que je trouve très mignon. Vous pourrez aussi l’accessoiriser avec du ruban ou même une étiquette personnalisée avec les informations de votre mariage ou autre évènement. Personnellement j’adore le côté naturel du kraft mais vous pouvez aussi utiliser un autre type de papier pour effectuer cette boite à partir du moment où il est assez épais. La boite à dragée en forme de triangle à monter soi-même Dans cet article vous allez être guidé pas à pas dans la réalisation d’une boite en forme de triangle ou de gâteau. Le site vous donne même le patron que vous aurez juste à imprimer sur une feuille de la couleur de votre choix et à plier. C’est simple, c’est pratique et ils vous donnent plein d’idées pour décorer les boites que vous aurez créées vous-même. Et bien entendu le petit plus déco c’est que quand vous mettez toutes les boites les unes à côté des autres elles forment un joli gâteau ! Vous pourrez même faire des boites de tailles différentes en fonction du papier utilisé si vous avez des cadeaux différents pour les hommes et pour les femmes par exemple ou pour les enfants. Fabriquer une boite à dragées en forme d’étoile Gros coup de cœur pour ces jolies petites boites en forme d’étoile qui ne vous prendront pas longtemps à faire sauf si vous devez en faire 200 bien entendu. Pour résumer le tuto que vous retrouverez sur le site de l’auteur vous achetez du papier à scrapbooking celui des boites sur la photo a été acheté chez Action pour moins de 2€ les 24 feuilles, vous imprimez le gabarit sur ces feuilles que vous trouvez sur le site, vous découpez et collez selon ce gabarit et hop vous avez des contenants pour vos dragées trop mignons. En plus j’aime bien l’idée d’utiliser des papiers différents pour ne pas avoir exactement les mêmes pour tous vos invités. Le plus dur reste de trouver des papiers épais ou papier à scrapbooking pas trop chers qui soient dans le thème de votre déco. Sinon comme vu un peu plus haut vous avez toujours la solution de faire vos boites avec du papier kraft qui s’adapte à quasiment toutes les décos. Patron de boîte à dragée pour baptême Vous cherchez un patron de boite à dragée que vous allez pouvoir télécharger et imprimer gratuitement ? Alors rdv directement sur ce site pour trouver votre bonheur Bon je ne sais pas si le vrai terme est boite à dragées qui s’enclenche mais ce que je voulais dire c’est que vous n’aurez même pas besoin de colle pour faire cette boite. En fait la boite se ferme toute seule et s’ouvre à plat pour venir délivrer vos dragées. L’avantage est donc que c’est assez rapide à faire, il faut juste découper proprement autour du patron de la boite. Par contre si vous avez des petites dragées ou des bonbons style M&Ms je pense que quand vos invités vont ouvrir la boite ça risque d’en mettre partout ! A privilégier donc pour les plus grosses dragées ou pour d’autres souvenir de baptême pour vos invités ou si vous trouvez ça rigolo de répandre vos dragées chez vos invités… Encore une fois vous aurez le patron de cette boite sur le site internet à télécharger gratuitement pour l’imprimer sur le papier de votre choix. Un tuto pour une boite à dragées en forme de sac Vous vous en doutez cette jolie boite en forme de petit sac va vous demander un peu plus d’efforts que les autres car il y a plus de pliages. Mais le résultat est vraiment top et donne envie ! Et en plus vous n’avez pas besoin d’utiliser un papier ultra épais pour la réaliser. Couplée avec des étiquettes personnalisées ces boites vont vraiment faire un carton. Donc si vous aimez le pliage et que vous avez un peu de temps, je vous conseille vivement d’aller jeter un œil à ce tutoriel de boite à dragées. Faire une boite à dragée en forme de cœur Ce cube aurait pu être tout simple…s’il n’y avait pas eu ce petit cœur qui vient le refermer. Vous trouverez sur le site le gabarit à adapter selon la taille de boite que vous voulez obtenir. Et je suis sure qu’avec un papier un peu plus moderne attention je n’ai pas dit que c’était moche…mais j’aime les motifs plus modernes ça peut être super mignon. Vous pouvez l’adapter pour un mariage, un baptême ou comme ils le disent sur le site pour une Saint Valentin. Le plus dur encore une fois sera surement de découper proprement tous les gabarits sur du papier. Mais avec du courage et des amis minutieux je suis certaine que vous allez y arriver ! Une boite à bonbon à faire soi-même Et pour le plaisir un tuto un peu compliqué parce qu’il y a beaucoup de pliages et qu’il vous faudra aussi utiliser de…la colle ! mais le résultat est top. En plus vous pourrez y mettre pas mal de choses dedans des grosses dragées, des petits mots doux, des cailloux je rigole bien entendu... Faites juste attention quand vous téléchargez le patron car il y a des écritures dessus. Il faudra donc l’imprimer et tracer les contours sur votre papier. Ou alors le modifier avec un logiciel comme photoshop pour y inscrire les textes ou images que vous voudrez retrouver sur votre boite. Si vous comptez modifier le patron le plus sympa serait de prévenir l’auteur de ce tutoriel car elle a vraiment fait un très beau travail. Si vous voulez remplacer les dragées par du thé vous trouverez aussi le tuto pour faire des sachets de thé vous-même en bas de l’article sur cette boite. D’autres contenants à dragées à faire soi-même Vous l’aurez compris il n’y a pas que les boites dans la vie pour offrir vos jolies dragées. Vous pouvez aussi utiliser d’autres types de contenant comme des cône ou des sachets. Ca change coté déco et ça peut être très mignon. Le sachet en tissu pour des dragées à faire soi-même Si vous aimez la couture vous pouvez tout à fait réaliser vos propres sachets en tissu pour y mettre vos dragées. Il vous faudra alors du tissu adapté aux couleurs de votre déco, du ruban en satin et une machine à coudre bien entendu. Pour une personne qui sait faire fonctionner une machine à coudre ce qui n’est malheureusement pas mon cas ça à l’air assez simple comme tuto. Et l’avantage d’un contenant en tissu c’est que vos invités pourront le garder et le réutiliser comme petit plus de faire un joli contenant à dragées c'est donc plutôt éco-responsable. Le sachet en kraft fait maison J’ai choisi ce tuto de sachet en kraft car je trouve le résultat bien fini, notamment avec la partie impression. Ces petits sachets sont faits à partir d’une grande enveloppe en kraft mais vous pouvez aussi les faire avec une feuille de kraft A4. Et comme vous pouvez le voir sur la photo je trouve que le fait de rajouter un petit côté bling bling avec des paillettes rend super bien. L’astuce ? Une bande de scotch double faces que vous collez en bas du sachet et un petit bol de paillettes dans lequel vous venez tremper vos sachets. C’est d’ailleurs une astuce dont vous pouvez vous servir pour tous vos contenants à dragées faits maison. Le berlingot à dragées fait maison Et pour finir je vous propose de faire des petits berlingots pour mettre vos dragées. Encore une fois il vous suffit de trouver le bon papier, d’imprimer dessus du texte pour le personnaliser mais ce n’est même pas obligé et de créer ces jolis berlingots. Pour cela deux options. Vous pouvez utiliser du scotch double face pour le fermer. Voici le tuto Ou vous pouvez utiliser votre machine à coudre Les deux résultats sont tops mais si vous choisissez la 1ère option je vous conseille de choisir du très bon scotch pour éviter que certains berlingots ne s’ouvrent et répandent vos dragées partout. Nous voilà au bout de cette article sur les boites à dragées à faire soi-même. J’ai sélectionné 10 articles que je trouve bien illustrés avec des tutoriels simples à faire. Bien entendu si vous avez d’autres idées vous pouvez les poster en commentaires pour alimenter la discussion. Et n’hésitez pas à nous montrer vos réalisations ! Et si vous aimez le DIY vous risquez de craquer pour notre article sur Les éventails à faire soi-même avec 8 gabarits gratuits à imprimer Le mot auto-tromperie fait référence aux phénomènes de mensonges envers nous-mêmes. Il s’agit de l’un des grands pièges de l’esprit. L’auto-tromperie se retrouve dans ces situations où nous essayons de nous convaincre d’une réalité qui est fausse, mais nous le faisons de manière différence entre le mensonge et l’auto-tromperie réside dans le fait que, dans le mensonge, la personne est consciente de ne pas dire la vérité. En revanche, dans l’auto-tromperie, on accepte comme vraie une réalité erronée, mais sans en être d’autres termes, celui/celle qui se trompe lui/elle-même ne se rend pas compte qu’iel est en train de le faire, ou du moins iel ne le réalise pas toujours c’est là que se trouve le pouvoir de l’auto-tromperie. Puisque nous ne nous en rendons pas compte, l’auto-tromperie déploie son pouvoir, d’une façon que nous pourrions qualifier de silencieuse et existe différents types d’auto-tromperie, certains étant plus fréquents que d’autres. Par ailleurs, chacun d’eux a des effets psychologiques différents. Nous allons vous décrire les quatre types d’auto-tromperie les plus fréquents et leurs principaux effets au niveau Auto-tromperie fonctionnelleL’auto-tromperie fonctionnelle s’observe dans des situations au cours desquelles la personne se ment en cherchant à se convaincre que sa décision est correcte. L’exemple le plus connu d’auto-tromperie fonctionnelle est celui de la fable du Renard et des cette fable, le renard caractérisé par son astuce se sent attiré par une succulente grappe de raisins et essaye de l’atteindre en sautant plusieurs fois. Après plusieurs tentatives infructueuses, le renard abandonne et fait face à sa frustration en se mentant. Il se convainc de ne plus vouloir manger de raisins en pensant que la grappe n’était pas suffisamment décrire dans la fable du Renard et des Raisins s’appelle l’auto-tromperie fonctionnelle. Elle a une fonction très claire et c’est pour cela qu’elle porte ce nom l’acte de se mentir est très utile au renard car il évite ainsi de ressentir du mal-être après avoir échoué à satisfaire ses besoins problèmes de l’auto-tromperie fonctionnelleL’auto-tromperie fonctionnelle à court terme est adaptative ; à long terme, en revanche, elle n’est ni positive, ni bénéfique. L’effet psychologique qui en découle est dû au fait que la personne décide de transformer une vérité ne pas être capable d’atteindre un objectif en un mensonge qui la tranquillise cet objectif n’en vaut pas la peine.Selon le psychologue Giorgio Nardone, toute bonne intention, à force d’être répétée, devient négative et contre-productive. En d’autres termes, tout ce qui est fonctionnel et est prolongé à l’excès ou pris à fortes doses, produit l’effet contraire à celui cette façon, la personne qui utilise l’auto-tromperie fonctionnelle ne prend pas de risques et reste dans sa zone de confort de manière constante. Car au lieu de se préparer pour acquérir les capacités nécessaires à l’atteinte de l’objectif qu’elle souhaite, elle continue à se mentir en pensant que ce qu’elle désirait n’a plus autant de valeur ou ne mérite plus qu’on fasse des efforts pour l’atteindre.“Mentir est un jeu de langage qui requiert d’être appris, comme tout autre.”-Ludwig Wittgenstein-2. Donner de la valeur pour croireL’auto-tromperie qu’on appelle “donner de la valeur pour croire” surgit du besoin d’en finir avec la dissonance cognitive. Elle se caractérise par la conviction que si quelque chose nécessite beaucoup d’argent, de temps ou d’efforts, alors nous lui donnons beaucoup plus de valeur qu’une chose pour laquelle nous n’avons pas payé si cher. C’est pour cela, par exemple, que nous donnons plus d’importance au fait d’appartenir à un groupe dans lequel nous avons eu du mal à entrer. Tout autre groupe, en comparaison, n’aurait que peu de des situations où la personne doit faire beaucoup d’efforts pour atteindre un objectif, que cet objectif lui soit important ou non, son attention se concentre d’une manière sélective sur tout ce qui confirme que son objectif a de la valeur. Elle finit donc par croire que son but est important pour justifier tous les efforts fournis. Sinon, la dissonance dont nous parlions au début vient l’auto-tromperie ?Etant donné que, psychologiquement, les êtres humains ne peuvent pas garder très longtemps une contradiction dans leur système cognitif des croyances, des pensées et des idées et leur système comportemental des actions et des comportements, l’auto-tromperie “donner de la valeur pour croire” apparaît comme une manière de résoudre la principal effet psychologique de cette auto-tromperie est que la personne continue à faire des efforts pour atteindre un objectif qui ne correspond pas souvent à son système de principes et de valeurs. C’est une auto-tromperie qui a une date d’expiration car son effet ne dure pas éternellement. À long terme, la personne finit par se rendre compte de cette tromperie et, d’une certaine manière, se sent Auto-tromperie consolanteL’auto-tromperie consolante est l’étoile des auto-tromperies et est fréquemment observée chez les personnes souffrant de jalousie maladive. Le mensonge consolant se retrouve dans des situations où la personne se ment pour faire culpabiliser un agent externe et pour qu’on la exemples d’auto-tromperie consolante seraient de penser que l’on a une phobie parce que “ma mère m’a transmis sa peur des chiens” ou de penser “je suis très jaloux-se parce que mon/ma petit-e ami-e me donne des raisons de l’être”. Il s’agit de pensées que la personne extériorise fréquemment pour trouver de la l’auto-tromperie consolante fournit une protection à l’auto-estime et à l’ego. Elle nous fait croire que rien de ce qui arrive n’est de notre faute et que nous sommes victimes de la situation. D’un côté, il s’agit d’un fait positif car, très souvent, nous ne sommes pas à 100% responsables des circonstances que nous affrontons. Cependant, recourir à des causes du passé et à des facteurs qui nous sont externes nous immobilise face au piège de l’auto-tromperie consolanteLe mensonge consolant nous protège. Le problème d’une protection qui dure trop longtemps est qu’il nous empêche de grandir d’un point de vue psychologique. L’effet psychologique de cette auto-tromperie est de nous empêcher d’affronter les problématiques qui nous font nous sentir mal et de nous confirmer qu’il est impossible de les Mentir aux autres pour se convaincre soi-mêmeL’une des manières les plus subtiles de se tromper soi-même est de mentir aux autres afin de se mentir personnellement. Nous faisons ici référence à ces situations où la personne transmet des histoires, des situations et des perceptions qui sont biaisées. Au début, on est conscient-e de cette petite distorsion de la réalité puis, petit à petit, la personne finit par être absorbée par son récit et son personnage.“Celui qui dit un mensonge ne sait pas quelle lourde tâche il a entamé car il sera obligé d’en inventer vingt de plus pour que le premier soit enfin crédible.”-Alexander Pope-Si ce mécanisme qui consiste à mentir aux autres se répète plusieurs fois, le mensonge se transforme en vérité, même pour celuicelle qui l’a créé. Une possible explication de ce phénomène réside dans le fait que le cerveau s’adapte à la malhonnêteté et que le mensonge est vécu comme une comme si la personne oubliait qu’elle avait construit une fausse vérité. Même devant l’évidence empirique de leur propre mensonge, ces individus continuent à nier la réalité, non pas par manque d’honnêteté, mais à cause de l’effet d’ n’est à l’abri de l’auto-tromperie, il s’agit d’un phénomène psychologique très fréquent et, jusqu’à un certain point, normal. Être libéré-e de tout mensonge requiert une grande réflexion personnelle. Plonger à l’intérieur de notre être, apprendre à connaître nos valeurs, idéaux et désirs est le premier pas pour nous protéger de toute auto-tromperie et pour nous consacrer à des objectifs que nous voulons réellement atteindre.

action faite de soi meme sans reflexion