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Laissez vous emporter par le rythme - Le rythme dans la peau. Descriptif technique Tibère Et La Maison Bleue - Volume 3 - La Fête Avec Tibère de Mitchell Kriegman - DVD Zone 2. Oeuvre . Titre VO Bear In The Big Blue House: Dance Party! Nationalité de l'oeuvre USA Année de sortie en salles 1997 Public Tous Couleur Couleur Durée de la vidéo 72 Support . Type de
A5mPE. The Master of ErrorUwe Boll sur le tournage de In the Name of the King a Dungeon Siege Tale à Vancouver, en est très délicat de s'attaquer au cas Uwe Boll, tant son image est brouillée par la haine viscérale que ses films ont pu déclencher ces dernières années chez les fans de jeu vidéo le bonhomme s'est fait une spécialité de leur dévoiement sur grand écran, ou tout bonnement chez les amateurs d'un cinéma d'exploitation réalisé avec un minimum d'honnêteté. La question étant de savoir si cet opprobre, dont les résonances impressionnantes orientent forcément le regard, est mérité - pour peu qu'on arrête d'y compter les points Godwin. D'après les films qu'on a pu voir du réalisateur, ses réactions face aux critiques ou encore ses hallucinantes sorties dans les bonus de ses DVDs, la réponse est oui. Trois fois, dix fois, mille fois le 22 juin 1965 dans la ville de Wermelskirchen, Uwe Boll obtient un Doctorat en Littérature à l'université de Siegen, et se lance dans l'aventure cinématographique dès 1991 avec un film parodique, hommage au Hamburger Film Sandwich des ZAZ. Il tourne ensuite un docu-fiction, une chronique sociale hardcore, puis une comédie romantique – ce qui témoigne déjà de l'étonnante versatilité du Docteur. Des films dont l'exploitation ne s'est jamais étendue au-delà des salles allemandes, et par ailleurs introuvables en vidéo certains ont été projeté à L'Etrange Festival édition 2010, dans le cadre d'une rétrospective de sa filmo.En 2000, à la tête de sa société nouvellement créée, la Boll KG, il convainc les exécutifs peu regardants de Regent Entertainment d'investir dans Sanctimony, piteuse variation sur le thème d'American Psycho avec Casper Van Dien dans le rôle du trader tueur en série. Son film suivant, Blackwoods, propulse un autre acteur de Starship Troopers Patrick Muldoon en tête d'affiche, dans un thriller mou du genou. Heart of America, enfin, propose une vision on ne peut plus candide du drame meurtrier survenu au lycée Columbine de Littleton quatre ans plus 2003, Uwe Boll et ses investisseurs de Boll KG prennent une décision cruciale adapter sur grand écran des jeux vidéo populaires. Lesquels ont l'avantage de bénéficier d'une renommée déjà installée, garante de ventes automatiques du produit à l'étranger. Uwe Boll n'hésite pas à le dire, ce virage productif est purement commercial, le réalisateur n'étant pas spécialement féru de jeux vidéo. Si cette confession a au moins le mérite de la franchise, elle sera en partie responsable du courroux des fans des œuvres complètement massacrées par le élément clé dans cette animosité quasi généralisée à l'égard d'Uwe Boll est son incompétence souvent ahurissante. À la vision de House of the Dead, il est incroyable de constater qu'il ne s'agit pas là du premier mais bien du huitième film du réalisateur, tant celui-ci livre un résultat certes hilarant, mais catastrophique en termes de mise en scène, que même des délais de tournage serrés ne sauraient excuser. Des anarchies visuelles et narratives qu'on retrouve dans des acceptions relativement différentes dans Alone in the Dark, BloodRayne et le pétulant King Rising, doublées d'une incompréhension manifeste des matériaux de base. Uwe Boll n'en a cure, comme il le dit lui-même dans les stupéfiants commentaires audio de House of the Dead et Alone in the phénomène prend de fait des proportions démesurées, accentué par le cynisme évident et affiché d'Uwe Boll. Le réalisateur prend de plus en plus mal les critiques négatives à son endroit, souvent il est vrai aussi stupides que ses films. Mais au jeu de la surenchère, Boll s'apprête à prouver qu'il n'a de leçons à recevoir de personne. En septembre 2006, il invite ses détracteurs les plus virulents à venir l'affronter sur un ring de boxe. Il se garde bien de préciser son expérience de boxeur à ceux qui relèvent le défi, dont un mineur qui sortira KO de la content d'avoir évacué sa rancœur de cette imbécile façon Un poing dans la gueule, c'est le meilleur moyen d'aimer mes films ! », Boll réalise dans la foulée deux œuvres rageuses et jusqu'au-boutistes. Seed et Postal sont toujours aussi idiots et mal filmés, mais leur flot de violence gratuite ou leur bêtise crassement assumée témoignent presque d'une forme de sincérité, chose inédite dans la filmographie d'un homme qui a toujours plus été un businessman opportuniste qu'un sous cet angle qu'il faut appréhender la singulière suite de sa carrière, qui aura entraîné de fulgurants rétropédalages quant à l'appréciation du bonhomme dans les sphères cinéphiles, jusqu'à son improbable sacralisation de l'Etrange Festival en 2010. Après le petit succès d'estime de Postal qu'il présentait comme son chef-d'œuvre, Uwe Boll revient aux adaptations de jeux vidéo avec les risibles Bloodrayne 2 et Far Cry, deux produits pas possibles avec leur lot de scènes nanardes voir le speech final de Bloodrayne 2 ou les cataclysmiques scènes d'action de Far Cry pour avoir un aperçu. Vient alors un revirement pour le moins inattendu, puisque notre homme va tenter de gommer la distance qui sépare un réalisateur d'un cinéaste. En d'autres termes, il va chercher à devenir… un au moins ça, il va procéder de façon plutôt judicieuse pour le triptyque à venir, sincèrement la partie la plus intéressante de sa filmographie. Il s'inspire de sujets réels, forts et violents, qu'il va traiter avec la même mécanique des scripts non dialogués pour laisser les comédiens improviser et s'emparer de leurs rôles même si le résultat peut avoir des fortunes diverses, Boll semble au moins reconnaître que l'écriture est loin d'être son fort !, une mise en scène dont le "style documentaire" est surligné par l'emploi de caméras portées et secouées plus que de raison et, pour le fond, une gradation dans une violence abjecte, objet de débat entre les éternels contempteurs du bonhomme et ses nouveaux démarre ce nouvel axe de sa filmo avec Stoic, modeste production en huis-clos montrant les interrogatoires de trois détenus après le suicide d'un quatrième. Le film est en grande partie constitué de flashbacks où sont dévoilés les multiples sévices infligés par les trois personnages principaux. Se retrancher derrière la mention "inspiré de faits réels", ou arguer que le malaise procuré par le film est authentique ne sont pas des arguments, tant la façon dont Uwe Boll construit son récit est franchement dégueulasse. Il n'y a rien de courageux ou de bravache à enchaîner les atrocités et franchement, dans le genre, toute la nouvelle vague US des rape revenge le met à l'amende, surtout quand le seul discours du film, balancé par l'un des protagonistes au détour d'une phrase jamais développée, consiste à affirmer qu'en prison, il y a quand même des même énorme problème frappera de plein fouet Darfur, dernier film de sa trilogie auteuriste. Débutant de façon convaincante - et du coup étonnante ! - sur les mêmes bases esthétiques, le film ne devient, à l'arrivée des mercenaires Janjawid, qu'un amoncellement d'actes de barbarie filmés et montés sans aucune autre finalité que de choquer pour choquer. L'éveil des consciences tant recherché par les personnages du film tombe franchement à plat, et ce geste cinématographique d'apparaître au mieux maladroit, au pire obscène – surtout avec le carton final rappelant in extremis le propos le génocide, c'est mal.Au beau milieu, on trouve Rampage, sorti en France en DVD avec le beau sous-titre Sniper en liberté. A n'en point douter, le meilleur travail d'Uwe Boll, et presque un bon film pour peu qu'on ferme les yeux sur ses scories récurrentes des impros approximatives et quelques scènes chocs bien trop bourrines et filmées similaires ! La nuance vient du fait que cette fois-ci, Boll adopte complètement le point de vue de son anti-héros, transformé rapidement en machine à tuer. La surenchère hardcore est une nouvelle fois de mise, mais pour une fois, le réalisateur laisse le spectateur tirer sa propre morale et ne l'écrase pas sous le poids d'une démonstration didactique empruntant la finesse d'un tractopelle. La caméra est toujours en roue libre, mais le procédé fait sens avec le sujet. L'incroyable cynisme du film, jusqu'à sa conclusion, est sûrement la meilleure retranscription des ambitions cinématographiques d'Uwe Boll, d'un point de vue strictement aurait pu dès lors imaginer le Docteur partir en quête d'Oscars et de Golden Globes, à coups de tatannes dans la gueule si besoin. Ce serait mal connaître son pragmatisme si un projet se monte, on le tourne, basta. La cohérence artistique, c'est pour les branleurs d'Internet qu'il méprise tant, et dont Nanarland fait bien évidemment partie. Boll tourne donc coup sur coup deux films de facture à peu près correcte, partageant néanmoins une interprétation approximative et un rythme soporifique. Le premier, Final Storm, "thriller" pré-apocalyptique intimiste avec Luke Perry, est un modèle d'empilement d'incohérences scénaristiques qui finissent peu à peu par vous griller le cerveau. Une tambouille à peine rattrapée par une fin mollement gonzo, qui surligne à quel point ce qu'on vient de voir n'a aucun sens. Le deuxième, Max Schmeling, est le biopic gentillet d'un boxeur allemand qui a su faire front au régime nazi. Pompier, enfoncé par son script sentencieux, son acteur principal amorphe et sa réalisation "intuitive", le film se réveille pendant les nombreuses scènes de joute pugilistique, a priori la seule chose qui semble intéresser s'il s'exprime moins sur le sujet, Uwe prend toujours autant à cœur les jugements critiques à son endroit, ce qui peut expliquer l'hallucination à venir. Qu'il tourne le troisième volet de Bloodrayne, situé cette fois-ci en pleine Seconde Guerre mondiale avec un bad guy vampire et nazi, soit. Mais qu'il en profite pour tourner dans le même temps une parodie de ce même film, dans les mêmes décors, avec le même casting si l'on excepte l'actrice principale remplacée par une humoriste obèse, là , on tombe pour le moins dans de l'inédit. De toutes ses adaptations de jeux vidéo, Bloodrayne 3 est celle qu'Uwe Boll a le plus chiadé – le script eut-il été moins bas du front et les habituelles fautes de goût du Docteur voix-off plombante, scènes de sexe totalement gratuites… moins prononcées, nous aurions eu affaire à un DTV honnête. Blubberella, par contre, constitue un furoncle purulent sur la face des nouveaux défenseurs d'Uwe grotesque, gênant et dans le même temps captivant pour tous les masochistes qui auront suivi la carrière du bonhomme de près, Blubberella est un objet parodique déviant, dont le ton penche plus du côté des produits du binôme Aaron Seltzer / Jason Friedberg Sexy Movie, Big Movie, Spartatouille… que de South Park, comme c'était déjà le cas pour Postal. La grande majorité des scènes comiques tombent à plat, par manque de timing ou tout simplement d'humour digne de ce nom. Quand il ne refait pas presque mot à mot des scènes entières de Bloodrayne 3 en y rajoutant des blagues sur la boulimie de son héroïne ou sa nymphomanie, Uwe Boll fait tout bonnement n'importe quoi. Il met un bon mot sur les critiques de films dans la bouche d'un nazi, parodie le film Precious, se met lui-même en scène dans la peau d'Hitler… Comme s'il cherchait dans le même temps à désamorcer toute tentative de jugement à son endroit ET à donner le bâton pour se faire Boll, à gauche, dans le rôle de Adolf début des années 2010, il continue à sortir des films à un rythme soutenu, même si on sent que les moyens et les castings perdent en ce soit en essorant de façon mécanique les franchises vidéoludiques dont il a encore les droits avec King Rising 2 les deux mondes, en 2011, Dolph Lundgren et Lochlin Munro venant remplacer Jason Statham et Burt Reynolds puis King Rising 3 en 2014 où ne reste plus comme visage vaguement connu que Dominic Purcell, son nouvel acteur fétiche, au milieu d'un cast intégralement bulgare pour des raisons d'économie...Que ce soit surtout en continuant de jouer la carte de la provoque gratuite en profitant de toutes les polémiques du moment pour se parer d'une posture pseudo-révolutionnaire de façade. Il réussit son coup avec Assaut sur Wall Street où après 50 mn de drame social sur fond de crise des subprimes, il se lance dans un remake violent de Chute Libre dans le milieu de la finance. Un film bien accueilli, pour beaucoup son film le plus abouti à ce jour, où flinguer du banquier et du trader apparait comme une catharsis salutaire. Boll comprend bien l'intêret de ce nouveau filon en alignant deux suites à Rampage qui reprennent peu ou prou cette posture anticapitaliste et antigouvernementale nappé d'un discours vaguement complotiste de plus en plus nihiliste. Problème ce n°2 et surtout ce n°3, outre un opportunisme visible, sont faits à la va-vite, esthétiquement médiocres et prévisibles et n'arrivent jamais à retrouver l'efficacité brute du premier opus ou d'Assaut sur Wall Street. Des films dont la grossiereté du discours ferait passer la Casa de Papel pour un chef d'oeuvre de subversion, mais qui trouvent cependant un certain succès sur internet, au point de devenir une "oeuvre culte" pour une poignée d'exaltés du post Facebook rageur antisystème. Boll se garde d'ailleurs un petit rôle à chaque fois dans Rampage 2, Uwe Boll incarne lui-même un producteur de télé dont l'essentiel de l'utilité scénaristique consiste à approuver, édifié, les monologues conspi de son héros observé sur un écran de télé et dans le 3 une figuration en tueur. Entre ces films se glissent quelques productions plus anodines, comme le thriller politique Suddenly en 2013 avec Purcell et Liotta, ou la même année son segment dans l'oubliable anthologie d'horreur "The Profane Exhibit" où viennent se perdre des vétérans comme Ruggero Deodato ou José Mojica Marins. Des production plus confidentielles et peu médiatisées qui demontrent surtout sa capacité d'efficace faiseur pour video à partir de milieu des années 2010 les choses deviennent plus difficiles pour Boll malgré les coups de com. réguliers, comme quand il menace bruyament la Warner d'un procès pour avoir utilisé sans son accord le nom Rampage pour un blockbuster avec Dwayne Johnson. Les films du cinéaste sont loin d'être des triomphes sur le plan budgétaire car même si ses productions au look de plus en plus indigent n'ont pas coûté bien cher, elles peinent à rentrer dans leurs frais. A tel point qu'Üwe se lance dans des campagnes Indiegogo pour les financer ! Et pour son Rampage 3 n'obtient au final que 6000 $ sur les 100 000 prévus au départ. Il réussit à boucler son tournage en 6 jours montre en main et visiblement conscient de l'impasse commerciale à laquelle il est arrivé, il apparait dans une scène post crédit pour saluer son public avant de partir dans le lointain, semblant acter sa volonté d'arreter là sa 2016, après l'echec commercial de Rampage 3, Üwe Boll annonce officiellement sa retraite pour ouvrir... le Bauhaus, un restaurant gastronomique allemand à Vancouver. Un projet qu'il murit depuis plusieurs années. Décoration soignée, ambiance chic et chefs venus d'Europe, pour une fois Boll reçoit de bonnes critiques. Helas pour lui malgré un bon démarrage, il se trouve confronté de plein fouet à la crise du Covid-19 et doit laisser son restaurant fermé une bonne partie de 2020 pour finalement mettre la clef sous la porte en mars de chance pour le bouillant cinéaste qui, devant se refaire, annonce avoir déjà repris la camera pour tourner de nouveaux films. En projet, un documentaire sur la boxe, un 4ème Rampage et une fiction sur.. une tuerie de masse en Allemagne. On ne se refait filmographie d'Uwe Boll, pour disparate qu'elle soit, donne la funeste impression d'un gaillard opportuniste alignant toutes sortes de projets pour continuer à exister coûte que coûte. D'un faiseur pas vraiment appliqué et néanmoins avide de reconnaissance, avec une conscience aiguë des réactions qu'il suscite, mais qui préfèrera s'en moquer au lieu de chercher à les comprendre. Les réponses concrètes à ces attaques, formulées dans ses films, l'ont poussé à se considérer comme un auteur, et de fait ont mis à jour quelques obsessions récurrentes qui définissent aujourd'hui la touche de son cinéma, quel que soit le sujet, sa vocation commerciale ou son degré de sérieux. Une fascination pour la surenchère gore, les corps brûlés de façon cathartique, l'apparat nazi Boll y a souvent été assimilé sur le net du fait de ses origines allemandes, et il ne s'en est jamais remis, le mauvais goût, et la découverte de l'efficacité relative de la caméra portée pour favoriser l'immersion dans ses la foi de ses débuts dans l'adaptation vidéo-ludique et de la sinistre opération de comm' autour de ses matchs de boxe contre des critiques juvéniles, on avait tendance à le considérer comme un imbécile agressif, furibard qu'on vienne empiéter sur son fonds de commerce. A la vision de sa filmo de Seed à Blubberella, on est prêt à changer d'avis, et à le reconsidérer comme un taré. Mais un taré qui parvient à enchaîner les projets, à provoquer de l'intérêt autour de sa personne depuis un peu moins d'une décennie, et à entraîner dans sa folie une palanquée d'acteurs has been Edward Furlong, Brendan Fletcher, Billy Zane, et surtout Michael Paré, caution parfois surréaliste d'écarts cinématographiques toujours n'est pas encore prêts de l'ériger en cinéaste ou en auteur pour autant. Un réalisateur comme Louis Leterrier a lui aussi ses gimmicks récurrents de film en film, sans qu'on puisse considérer "Le Choc des Titans", "Hulk" et "Danny the Dog" comme une trilogie de l'émancipation. Ce qui distingue Uwe Boll des yes men hollywoodiens pour le moment, c'est uniquement l'utilisation de ses frustrations dans sa filmo récente, et qui peut donner naissance à des objets aussi foutraques que Blubberella. On lui accordera qu'il est aujourd'hui l'un des rares réalisateurs dont il devient impossible de parier sur sa carrière à venir. Après une semaine intensive de rattrapage des neuf films réalisés par ses soins depuis quatre petites années, on se dit qu'il peut aussi bien plancher sur un remake punk de "La Mélodie du bonheur", sur un porno gay avec des nains nazis, que sur un biopic grandiloquent de Gandhi.
Science-fiction Action Fantastique Avec l'arrivée du très attendu Halo Infinite, il est normal que beaucoup de joueurs et joueuses se replongent dans cette saga incontournable du jeu vidéo. C'est ce qu'on a fait et c'est justement pour ça qu'on vous dévoile notre classement des précédents épisodes de Halo, une des plus grandes licences de science-fiction vidéoludique. NOTRE TEST DE HALO INFINITE pourquoi c'est un espoir pour l'avenir de la saga Tout a commencé en 2001 sur le continent américain et en 2002 chez nous avec Halo Combat Evolved, lors du lancement de la Xbox, première console de Microsoft. Depuis lors, la saga Halo continue d'influencer toute équipe souhaitant développer un jeu de tir. Il s'agit également de la licence la plus lucrative de Microsoft même en comptant l'acquisition du catalogue Bethesda, eh oui, il n'est donc pas étonnant de voir la firme continuer de lui faire traverser les générations de consoles. De la Xbox à la Xbox 360, de 2001 à 2010, les jeux Halo sont développés par le studio Bungie qui a chéri son bébé pendant dix ans. À la fin des années 2000, le studio 343 Industries est justement fondé dans le but de succéder à Bungie qui commençait déjà à travailler sur Destiny. Le changement d'équipe très clairement tourné plus d'une page dans l'histoire de la franchise, pour le meilleur et pour le pire. Et on s'excuse à l'avance, même si tout le monde s'en fiche un peu, mais les petits jeux tels que Halo Spartan Assault et Spartan Strike ne font pas partie de ce classement. Ce qui nous intéresse ici, ce sont les jeux conçus pour nos consoles de salon ornementées d'un grand X vert oui, certains sont sur PC et Mac, on sait. Sans plus attendre, voyons quels ont été les hauts et les bas de l'univers créé par Bungie. C'est l'histoire d'un mec... Qui tient toujours ses promesses. 10. HALO 5 GUARDIANS C'est lequel, celui-là ? Alors que le Major part à la recherche de Cortana avec sa Blue Team de Spartans, le Spartan Locke et l'équipe Osiris poursuivent cette Blue Team parce que ouin ouin c'est pas bien de désobéir aux ordres. Les deux groupes sont attaqués par plein de Forerunnes pas contents. Pourquoi c'est décevant Dernier du classement ne veut pas forcément dire nul. Halo 5 Guardians a des qualités comme le fait d'inclure au scénario les frères et sœurs d'armes du Master Chief qu'on découvrait dans l'univers étendu. On a aussi l'occasion de voir à quoi ressemble la planète Sanghelios, foyer des Élites. Le plot twist du dernier acte qui nous brise le cœur avait le mérite d'être intéressant, tout comme ce qu'annonçait la cinématique finale. La légendaire Blue Team ce qu'il en reste Le problème, c'est que le jeu ne nous donne pas ce que promettait sa promo, notamment une trahison du Major envers l'UNCS qui menait à une lutte fratricide entre lui et d'autres Spartans. On devait également découvrir ce qu'étaient ces fameux gardiens » du titre, mais ces derniers n'arrivent qu'à la fin comme un cheveu sur la soupe c'est un peu comme les soi-disant révélations d'Assassin's Creed Revelations, hihi. À cela s'ajoutent des personnages un peu fades et une direction artistique qui se rapproche des Call of Duty futuristes récents. C'est aussi le cas du mode multijoueur, clairement pensé pour l'e-sport, qui pour le coup ressemble vraiment à du Call of et ne donne plus l'impression de jouer à Halo. Le second coup d'essai de 343 Industries après Halo 4 fut donc un peu décevant, mais les images de Halo Infinite font heureusement vivre de l'espoir. Dernière chose Halo 5 ne permet pas de jouer en écran scindé, et ça, c'est scandaleux. La Fireteam Osiris 9. HALO WARS C'est lequel déjà ? Vous savez, c'est le jeu stratégique en vue isométrique développé par les parents d'Age of Empires. Le joueur contrôle l'équipage de l'UNSC Spirit of Fire contre les troupes de l'alliance Covenante dans une guerre commencée il y a cinq ans et déjà perdue d'avance. Pourquoi c'est pas si ouf Soyons clairs, l'idée de raconter aux joueurs comment se déroulaient les premiers conflits entre humains et Covenants était excellente. L'intrigue de Halo Wars se déroule en 2531, soit 21 ans avant les événements de Halo Combat Evolved et ce n'est hélas pas l'impression qu'on a. La direction artistique ne nous dépayse même pas un petit peu et on se dit que l'histoire pourrait se dérouler en plein milieu de la trilogie principale. Les têtes pensantes du Spirit of Fire Le principal problème est que l'équipe d'Ensemble Studios n'a pas eu énormément de temps pour développer le jeu. En plus de cela, il a fallu imaginer comment adapter le gameplay d'un Age of Empires, conçu pour le PC, à la manette de la Xbox 360 oui, car il a fallu attendre sept ans avant que le jeu ne soit disponible sur PC. On note quand même que les cinématiques sont plutôt jolies et bien animées pour un jeu de 2009 même si la VF est assez gênante, dommage que les graphismes des séquences de jeu ne soient pas au même niveau. Il est vrai qu'un jeu de stratégie en temps réel est censé pouvoir s'accorder à n'importe quel univers. Il est aussi vrai que le premier Halo devait être un STR... mais il est indéniable que tout le monde préfère la recette d'un FPS quand il est question de cet univers. Les Spartans de la Red Team 8. HALO WARS 2 C'est lequel déjà ? Il s'agit d'une suite à Halo Wars, sauf que ça se passe deux décennies plus tard, pas longtemps après les événements de Halo 5. Le joueur y contrôle toujours les mêmes troupes de l'UNSC Spirit of Fire et y découvre une faction ennemie redoutable. Pourquoi c'est mieux Dans Halo Wars 2, l'équipage du Spirit of Fire se réveille après vingt-huit ans de sommeil cryogénique alors que le vaisseau approche de l'Arche, la gigantesque installation Forerunner de Halo 3. Les quelques bases de l'UNSC qui s'y trouvent semblent avoir été ravagées par des vilains pas beaux. Il s'agit des Parias the Banished en VO, des anciens Covenants qui se sont rebellés contre les Prophètes ; à leur tête se trouve Atriox, l'impitoyable brute comparable à Gengis Khan à une échelle galactique. L'entrée en scène impressionnante et angoissante d'Atriox Par rapport à son prédécesseur, Halo Wars 2 a l'avantage d'être également sorti sur PC et pas seulement sur Xbox, une grande partie des joueurs ont donc pu profiter de son gameplay comme ils l'entendaient. Le jeu a été développé à la fois par 343 Industries et surtout Creative Assembly connu pour la licence Total War. Les deux studios ont donc pu se diviser intelligemment les tâches et n'ont pas eu besoin de trop se presser. Bon, d'accord, la plupart des joueurs ont relevé des ralentissements quand ça pète de partout. La jouabilité ne cherche pas à révolutionner quoi que ce soit, on voit surtout que le jeu veut préparer le terrain pour Halo Infinite et ce n'est pas pour nous déplaire, on aime beaucoup les Parias. Ce qu'on aime aussi, ce sont les cinématiques encore plus belles que dans le premier. Rien d'étonnant de la part de Blur Studio, à qui on devait déjà les cinématiques de Halo 2 Anniversary et plein d'effets spéciaux du cinéma. En parallèle, les séquences de jeu sont assez agréables à regarder. Hologramme/20 7. HALO 4 C'est lequel déjà ? Alors que tout le monde ou presque le croyait mort, Master Chief est réveillé d'une sieste de 4 ans par une Cortana complètement psychotique, il doit sauver le vaisseau Infinity paumé sur une planète pas vraiment paradisiaque et castagner des tonnes de Forerunners. Pourquoi c'est l'épisode d'une résurrection un peu molle Premier épisode de la saga Halo post-Bungie, le jeu prend de grandes largesses par rapport à l'histoire de la première trilogie appelons ça le syndrome Star Wars. Inaugurant un nouvel arc narratif intitulé the Reclaimer Saga la saga du Dépositaire en VF, ça claque moins. Halo 4 met au centre de l'intrigue les Forerunners, et fait d'eux les antagonistes principaux. Quand Halo se la joue Matrix Et malheureusement, ce choix plombe quelque peu ce quatrième épisode. Les Forerunners ne sont pas à la hauteur des Covenants en termes de design, de variété et de charisme. Et comme conscient de cette faiblesse, le studio surcompense cela en rendant les Forerunners quasi enragés dans la seconde partie du jeu. Malgré quelques moments de gloire, comme la mission d'escorte du Mammoth vers le Reclaimer, mémorable, et l'ajout de véhicules plutôt sympas pour des séquences de carnage sur roues assez jubilatoires, le tout manque de sel. En tant que coup d'essai d'un nouveau studio sur une aussi grosse licence, 343 Industries ne s'en sort pas si mal. D'un point de vue technique le jeu fait honneur à la Xbox 360 et reste très agréable à l'œil, même en 2021. Cependant, l'histoire et la construction globale du jeu sont un peu brouillonnes, et souffrent de la comparaison avec la trilogie originale. Et quelle idée a pris aux développeurs d'ajouter du dubstep à la bande originale ? Ah shit, here we go again 6. HALO INFINITE C'est lequel déjà ? Quelques mois après les événements de Halo 5 Guardians, les troupes de l'UNSC et les Parias s'affrontent au-dessus du Halo Zeta, une installation Forerunner où se trouve Cortana. Il est question d'y trouver une entité antique encore plus menaçante que le Parasite. Pourquoi c'est un épisode réconfortant À l'heure où nous écrivons ces lignes, Halo Infinite est disponible depuis presque quatre mois et les développeurs ne nous ont pas encore tout dévoilé. En ce qui concerne le multijoueur, il y a suffisamment de modes pour nous divertir pleinement. On aimerait évidemment un peu plus de maps, notamment en Big Team Battle, un mode qui implique 24 joueurs, mais on suppose que les prochains pass de combat nous donneront ce qu'on mérite. Reviens là , que j'te teabag ! Côté campagne solo, on sent que 343 Industries compte sur la nostalgie pour nous séduire. Quand on se balade dans le Halo Zeta, on respire le même air que sur l'Installation 04 du premier volet de la saga. L'expérience en monde ouvert évoque parfois Borderlands ou Far Cry, mais l'essence de Halo reste présente du début à la fin. Les véhicules, les armes, le comportement des IA... Tout est pensé pour nous offrir une campagne aussi fun que possible. On regrette bien sûr que les environnements soient aussi peu variés, mais le scénario n'en est pas moins cohérent et assez prenant pour nous donner envie d'aller au bout. Les grands absents sont sans aucun doute la coop et le mode Forge, qui devraient a priori arriver avec la saison 2 du battle pass. Il serait d'ailleurs logique que l'histoire nous propose un deuxième acte avec l'arrivée de la coop et de certains personnages des précédents jeux. On pense notamment à Palmer, la team Osiris et le légendaire Arbiter. Notre test de Halo Infinite À quand la suite ? 5. HALO COMBAT EVOLVED C'est lequel déjà ? Alors que le vaisseau Pillar of Autumn insérer métaphore phallique se fait attaquer par les Covenants, le Master Chief se retrouve à atterrir en catastrophe sur un Halo et à protéger Cortana, une intelligence artificielle qui ne doit pas tomber entre les mains de l'ennemi. Pourquoi c'est une origine intemporelle À sa sortie, Halo Combat Evolved est le jeu qui a servi de pilier principal à la toute première Xbox. Avec son univers foisonnant, son monde ouvert enchanteur et sa musique aux accents grégoriens, les aventures du Major ont lancé la console de Microsoft dans le futur, au point de marquer à tout jamais l'industrie du jeu vidéo. Tin tin tin tiiiiiiiin.... tin tin tin tiiiiiiiiin... Certes, rétrospectivement, Combat Evolved possède quelques carences dans sa campagne au rythme en dents de scie. Cependant, il est indéniable que les équipes de Bungie ont su donner aux joueurs une sensation de puissance jouissive, en lâchant leur personnage dans un monde hostile où les possibilités d'interaction avec les armes et les ennemis sont nombreuses. Pour autant, Halo premier du nom a aussi pour lui une progression réfléchie, principalement due à sa virée horrifique impressionnante dès lors que notre héros surpuissant se voit submergé par la menace des Floods. Mais ce qui fait d'Halo un jeu culte, c'est la perfection de son gameplay, qui a su adapter pour plusieurs générations la manière dont un FPS doit être pensé pour une console. Entre son système de déplacement et de visée fluides, son coup de mêlée mythique, ou encore la stratégie que demande le port de seulement deux armes, Combat Evolved a su cacher derrière sa simplicité apparente une incroyable richesse. Pas étonnant qu'il soit devenu un incontournable du multijoueur, en amenant des geeks acharnés à se retrouver pour des LAN parties aujourd'hui fantasmées. Allez les gars, on va tous les teabag ! 4. HALO 3 ODST C'est lequel déjà ? Halo 3 ODST est un spin-off se déroulant sur Terre, pendant les événements de Halo 2 et 3. Nous y incarnons des soldats de l'UNSC qui essaient tant bien que mal de protéger une ville assiégée par les Covenants. Pourquoi c'est génial Alors que Bungie espérait en avoir fini avec Halo, Microsoft leur commande deux derniers jeux avant de les laisser partir. Ne voulant plus impliquer le Major, Joseph Staten, le principal scénariste du studio, se dit Et si on faisait un film noir dans l'univers de Halo ? ». L'idée était de raconter une histoire un peu plus humaine avec des personnages, certes coriaces, mais beaucoup plus vulnérables que des Spartans. À partir de là , les concepteurs artistiques se mettent au travail et finissent par convaincre le compositeur Martin O'Donnell d'être de la partie. Breath of the Wild avant l'heure Le gameplay de Halo 3 ODST nous plonge dans les rues de la Nouvelle Mombasa, un monde semi-ouvert où un des personnages, le Bleu, enquête pour savoir ce qui est arrivé à son équipe. L'intrigue nécessite de jouer la campagne une première fois en solo pour bien comprendre tout ce que le jeu a à raconter vous pouvez évidemment jouer comme vous voulez et avec qui vous voulez, et à mesure que l'enquête avance, on s'attache pas mal aux personnages. Deux d'entre eux sont d'ailleurs doublés par Nathan Fillion et Alan Tudyk, car les développeurs sont de gros fans de Firefly. À défaut d'avoir un mode multijoueur comme ses prédécesseurs, ODST propose le mode Baptême du Feu qui consiste à affronter des vagues d'ennemis et survivre le plus longtemps possible. Rien de révolutionnaire, juste un max de fun à partager avec vos amis en écran scindé ou via le Xbox Live. L'escouade Alpha-Nine 3. HALO REACH C'est lequel déjà ? C'est le dernier Halo développé par Bungie et c'est celui qui se passe quelques semaines avant Combat Evolved. On y incarne un Spartan de troisième génération alors que les Covenants arrivent sur la planète Reach, dernier bastion de l'humanité avant la Terre. Pourquoi c'est génial Halo Reach est le cadeau de Bungie fait aux joueurs avant de quitter Microsoft tout ça pour aller se faire maltraiter par Activion avec Destiny, on n'aurait pas rêvé mieux. Les dialogues du début de Halo 2 nous évoquaient la chute de la planète Reach face à la puissance de la flotte Covenante ; malgré cela, le déroulement de l'intrigue de Reach nous laisse croire que, tant qu'on peut encore se battre, il y a de l'espoir. Une intro pas forcément rassurante On a affaire à des personnages badass et attachants, une direction artistique merveilleuse, des batailles super fun en solo comme en co-op, le tout rythmé par une histoire tragique qui élimine les personnages un par un dans des cinématiques super bien réalisées. Le très peu de fan-service suffit à ravir les fans, surtout quand on découvre enfin le Dr Halsey, la maman » de tous les Spartans, qui confie Cortana au protagoniste pour l'emmener sur le Pillar of Autumn. Plus on joue, plus on a la possibilité de personnaliser l'armure de Noble 6, le mystérieux protagoniste, c'est aussi ce qui permet de différencier vos camarades en co-op. D'ailleurs, Halo Reach dispose d'un des meilleurs modes en ligne de la saga probablement ex æquo avec Halo 3, qui nous a fait passer des heures sur le Xbox Live à se battre pour les meilleures armes de chaque map, toutes plus ingénieuses les unes que les autres sauf une qu'on ne citera pas. La bonne vieille map Compte à rebours 2. HALO 2 C'est lequel déjà ? Alors qu'il reçoit une médaille comme dans Star Wars, le Master Chief doit empêcher une flotte Covenant d'attaquer la Terre, et découvre surtout que les aliens ont trouvé un deuxième Halo comme dans Star Wars. L'épisode qui ose tout, et c'est génial Plus grand, plus fort, plus fou, Halo 2 a eu l'ambition d'être encore meilleur que son aîné, devenu entre-temps un jeu incontournable. Néanmoins, les limites techniques de la Xbox ont vite obligé Bungie à faire preuve de malice, surtout lorsqu'ils se sont décidés à mettre en scène de grands moments de guérilla urbaine sur Terre. L'Arbiter, un bien beau personnage Ainsi, malgré son level design plus resserré, Halo 2 est un titre qui ne cesse d'impressionner, comme lors de la bataille de New Mombasa. Mais surtout, les développeurs ont eu l'idée de génie de renouveler l'expérience du premier opus en offrant non pas un, mais deux points de vue. Avec un retournement de situation digne de Metal Gear Solid 2, la suite de Halo alterne entre des séquences dans la peau du Master Chief, et des passages dans le rôle d'un commandant Covenant déchu après les événements du premier jeu. Non seulement cet ajout permet d'approfondir grandement le monde des extraterrestres et leur politique, mais elle délivre aussi un récit plus tragique, centré sur la quête de rédemption d'un être rejeté par les siens. L'univers de Halo n'en devient que plus sublime, comme s'il mettait en exergue la petitesse de nos héros dans cette immensité cosmique. Ajoutez à cela le génial fusil de combat, l'épée à énergie et la possibilité de faire de l'akimbo, et voilà qu'Halo 2 parvient à devenir encore plus fun et stratégique. Tandis que le premier volet s'est imposé comme un jeu culte des LAN parties, sa suite a été le titre à même de donner vie au Xbox Live, et d'amener Microsoft et le FPS dans une nouvelle ère du online. Vous reprendrez bien un peu de plasma ? 1. HALO 3 C'est lequel déjà ? Alors que le Master Chief s'écrase encore sur Terre en pleine jungle africaine, il doit mener une course contre la montre pour empêcher le Prophète de la Vérité d'atteindre l'Arche, l'imprimante 3D géante capable de produire des Halos. Pourquoi c'est le Halo pour les gouverner tous Après la claque du deuxième épisode, et surtout après trois années à attendre fébrilement pour savoir où allait mener le cliffhanger insoutenable de la fin de Halo 2, Halo 3 arrive comme le messie en 2007. Et ce fut l'épisode du "on pousse tous les potards à 1000" sur tous les aspects. La campagne de Halo 3 est de loin la plus passionnante de toute la saga. Menée de main de maître, elle vient conclure les arcs de Master Chief, de Cortana et de l'Arbiter de façon parfaitement cohérente. Outre une narration au top et un rythme parfait, l'aventure réserve les gunfights les plus inoubliables de la saga, et des phases en véhicules bourrées d'adrénaline, avec pour climax la fuite finale en Warthog, absolument culte. Amicalement vôtre Mais comment parler de ce troisième opus sans évoquer son mode multijoueur ? Premier titre de la saga sur Xbox 360, Microsoft avait misé gros sur le volet online du jeu, et ce à raison, puisqu'aujourd'hui encore, l'expérience multi de Halo 3 est considérée comme l'une des meilleures de toute l'histoire du jeu vidéo. Les cartes furent savamment conçues, et fourmillaient de détails. Leur level-design brillant amenait à l'élaboration de stratégies complexes et réservait de beaux moments de bravoure en équipe. Mention spéciale à The Pit, une merveille de conception. Plus important encore, le mode Forge permettait aux joueurs les plus créatifs de concevoir leurs propres cartes et modes de jeu, ce qui assurait au titre une durée de vie quasi sans fin. Avec son gameplay aux petits oignons, sa campagne maitrisée de bout en bout et sa durée de vie colossale en multi, rien d'étonnant au fait que presque 15 ans après sa sortie, il reste l'un des jeux de tir à la première personne les plus appréciés de tous les temps. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Date 23/01/2019 dernier test enregistré 18/03/2019 - Voici tous les 61 avis et les tests trouvés sur le Jeux Far Cry New Dawn avec les 53 notes et les commentaires des testeurs dans leur review. Parmis ces tests des sites & magazines internet spécialisés dans les Jeux, 53 ont donné une note et on obtient une note moyenne de pour ce produit de Far Cry. Far Cry New Dawn review Attention Avec 61 tests, Far Cry New Dawn est un Hit, donc cette moyenne de est inhabituelle, cela montre une grosse déception des testeurs. NDA / Embargo des tests ? Notez que 36 tests sur 61 ont été publié le même jour, le 14/02/2019. Voici donc ci-dessous tous les articles trouvés concernant le test Far Cry New Dawn. Pour les jeux, des notes sont parfois différentes suivant la console. Reportez-vous bien alors au bon test.... Les "Pour et Contre" pour Far Cry New Dawn détails des avis et notes Pour mieux comparer, nous avons cherché pour vous les avantages et inconvénients de Far Cry New Dawn et les notes données par les sites spécialisés. Bon équilibre de jeu Histoire de polyvalent et monde du jeu Tension constante du jeu Aides sont parfois un peu ennuyeux Spawn du gibier sauvage est toujours au même endroit Fusillades génial et rapide Des personnages sont attachants et unique Pléthore d'activités secondaires Co-op fonctionne comme un rêve Missions de l'histoire principale ne prennent pas longtemps pour finir Limites de proximité s?associer en co-op Grande suite de l'histoire de FC5 Nouveaux systèmes de gameplay fantastique Le comté de Hope nucléaire est magnifique Nana ! Se sent parfois un peu grindy pour débloquer de nouveaux niveaux Histoire peut se sentir confus sans avoir joué FC5 Ouverte Exploration terminée Influence et le Style visuel est optimal Divertissants Guns For Hire Escalades sont une grande rupture de comté de l'espoir Éléments de RPG ne sont pas hors de propos Le lanceur de scie Par intérim n'est pas trop intelligent Hauteurs et dommages de chute parfois ennuyeux Histoire peut être courte pour certains le post-apo peut être beau qu'on se le dise! Des personnalités intéressantes et une scénarisation intelligente Un gameplay simple à prendre en main mais très fouillé pour qui veut en découvrir plus Une pléthore d'activité ! Nos jumelles "maléfiques" peu convaincantes Un cash shop ultra présent et bien trop assumé... Système d?attache et expéditions ajoutent une nouvelle tournure Système d?arme retravaillé habilement Généreux avec Perk points Direction artistique grand Bonne destruction sous-jacente de l?environnement et des thèmes de conflit générationnel Commence unpromisingly Trop semblable à bien des égards à Far Cry 5 Histoire décousue Ennemis de robot Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Des mystères à découvrir et de bons défis à relever Les personnages sont bien écrits et dosés Un monde post-apocalyptique coloré qui apporte un vent de fraîcheur Quelques petits problèmes de collision On perd beaucoup de temps à amasser des ressources On aimerait que l'histoire principale dure plus longtemps [8/10] testé le 12/02/2019 - Test Far Cry New Dawn ? Vous reprendrez bien une dose de Hope County ?...[lire le test complet sur PXLBBQ] Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Avoir une base pour mettre à niveau donne un sentiment d?accomplissement Charges de faire Missions réellement inventives Bois, que le chien se déplace dans votre side-car Expéditions ne vous wow Méchants ont latent potentiel [4/5] testé le 14/02/2019 - Test Far Cry New Dawn "Pushing Far Cry's survivalist formula further than it's ever been"...[lire le test complet sur GamesRadar] Nettoyage et artisanat sont amusant Le lanceur de scie. Assez dit Version plus intéressante du comté de Hope Côté contenu est attrayant et utile Histoire mal écrite Missions moins dévouées que d?autres jeux de Far Cry Redécouverte de Hope County Une suite aux événements de Far Cry 5 Dimension RPG intéréssante Evolution de la formule avant-postes, expéditions... Du contenu à foison Excellente bande-son Moins d'intérêt pour la chasse Monnaie virtuelle Les nemesis de l'épisode quelconques Meme IA On se fiche du scénario tout comme pour les autres épisodes en fait Graphismes superbes Excellente performance Même grand ouvert action mondial avec quelques torsions Il n?est pas vraiment post-apocalyptique en quelque sorte Si Far Cry 5 n?était pas votre confiture, celui-ci ne sera pas soit Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Beau monde Cool armes Mécanique de RPG bien ajustée Votre camp ajoute du sens Un récit plus linéaire. Questions techniques Certains peuvent se sentir qu'Ubisoft n'a pas pousser les choses assez loin. Visuels colorés. Mécanique de tir serré. Conclut l'histoire 5 de Far Cry. Développement du caractère inadéquat. Arme puissante microtransctions. Brève campagne. Mécanique légère de RPG augmente défi et rejouabilité Les gens, les événements et lieux de Far Cry 5, maintenant avec une apocalypse ! Histoire intrigante au retour des joueurs Grande stimulation entre les activités de l'histoire et le côté Toujours le même Far Cry à sa base Première personne conduite est terrible Des moments de Non action » n'ont pas des résultats intéressants Tout à fait plein de choses à faire et à conquérir Pillage a été accéléré et vous fait soif pour en savoir plus Un monde familier, agrémentée d'une touche Co-op offre comme toujours Chaos dynamique vous permet de rester sur vos gardes Le même chaos dynamique est perturbatrice et devra peut-être être repensée pour les versions futures C?est essentiellement une re-peau 5 de Far Cry mais qui prendre comme tu veux Animaux d'OP est de retour encore une fois, méfiez-vous des dindes Style art magnifique Combat de réactif et amusant Bâtiment-grand monde. Ia catastrophique Manque de personnages et l'histoire. L'ambiance post-apocalyptique verdoyante, une réussite Hope County, les survivants de Far Cry 5 et leurs histoires Les Expéditions avec Roger, toute une aventure Les éléments light RPG, intéressants et plutôt bien exploités... ... mais qui donnent l'impression de rallonger artificiellement la durée de vie Il manque quelque chose à l'écriture pour rendre le jeu passionnant [16/20] testé le 14/02/2019 - TEST de Far Cry New Dawn un retour à Hope County qui laisse un petit goût amer...[lire le test complet sur GamerGen] Visuels étonnants Grand jeu à chaque instant Belle exploration Éléments de RPG bien accueillis Certaines questions du monde ouvert AI peut être muet comme un roc Co-op est encore entravée Superbe détail esthétique Fun, familier de Combat Histoire passionnante Nettoyage pour survivre Quelques nouvelles fonctionnalités Moins personnalisation/artisanat Chaussure à cornes nostalgie Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Gameplay de Far Cry de qualité Système de mise à niveau solide multi-niveaux L?ajout de plusieurs niveaux de difficulté aux avant-postes est un atout Réglage post-apocalyptique gaspillé Histoire familière et terne Nouvellement ajouté expéditions sont une bonne idée mais n?ont pas été entièrement étoffé Une histoire plutôt prenante Une ambiance incroyable à l'écran Une vision du post-apocalyptique entre répulsion et fascination Une durée de vie correcte pour un stand-alone L'ajout d'une dimension gestion Des personnages charismatiques Davantage d'exploration Des aspects scénaristiques assez linéaires Un système de leveling pas si indispensable Un système de gestion assez léger Canons hiérarchisés et retravaillés avant-postes ajoutent complexité indispensables Missions de l'expédition vous impressionner avec des repères terrestres américains et action serrée L?histoire est fade au mieux, déroutant au pire Courte longueur de moyens nouveaux systèmes se sentent un peu précipité [ testé le 14/02/2019 - Test Far Cry New Dawn A surprisingly satisfying refresh, with some lingering old problems...[lire le test complet sur Superbement jolie Joseph continue d'être captivant Les nouvelles capacités sont amusantes Le combat est toujours génial Beaucoup de changements sont superflus Caractéristiques manquantes de FC5 Microtransactions vraiment superflues Une poignée d'insectes Un système RPG sympa Les expéditions La personnalisation de votre personnage L'utilisation de l'éthanol L'ambiance post-apo coloré Une IA légèrement retravaillée Les éliminations silencieuses sanglantes L'amélioration de Prosperity La bande-son Trop de similitudes flagrantes avec Far Cry 5 Manque d'originalité en termes de quête cache de survivaliste, avant-poste?. Les jumelles n'ont aucun véritable charisme contrairement aux précédents méchants Un gameplay peu renouvelé Des graphismes un peu à la ramasse Beau jeu sur PC Jeu de pistolet est un beaucoup de plaisir Liens en vrac extrémités narratives Avant-postes sont divertissants lutter contre Incroyable jeu audio Beaucoup de contes environnementaux Bunker puzzles sont fantastiques Aucune récompense intéressante pour la plupart des contenus Armes sont pour la plupart découverts dans les menus Certains des personnages sont mal écrit Aucune raison d'aller à la pêche Aucune raison d'aller à la chasse Le post-apo fleuri, c'est audacieux Le scénario qui suit celui de Far Cry 5, c'est malin L'amélioration de Prosperity, c'est sympa Moins buggué que Far Cry 5, c'est logique Far Cry rien de plus Un monde pas si grand Présence de micro-transactions Pourquoi tant de rose ? Pourquoi tant de vulgarité ? Couleurs vives Gameplay explosif 5 oeufs de Pâques de Far Cry Le comté de Hope still Pas assez fou Plus d'une Expansion de nouveau jeu L?histoire n?est pas trop au sérieux et commence par les événements de far cry 5 Retrouvailles avec certains personnages célèbres bonne à très bonne mécanique de tir haute Erkungungsreize beaucoup de déjà -vu cadre magnifique avec une interprétation intéressante d?un post Apocalypse moteur de physique passable Expéditions comme mécaniciens supplémentaires réévaluer l?action Extension de stockage bonne localisation en allemand dessin de caractères exagérée divertissant arcade tir faible KI également à la conclusion de la Gefährt-chemin d?accès rétroaction hit rudimentaire Campagne peut simplifier ou abréger l?argent réel peu de liberté dans l?agrandissement de l?entrepôt de nombreuses personnalités pourraient être renforcées Techniquement, pas toujours propres comme texture pop ups Totalement jouable en coopération Certaines armes rigolotes Beaucoup de références à Far Cry 5 L'idée de devoir améliorer sa base L'IA toujours aussi artificielle L'overdose d'avant-postes à conquérir Les jumelles, sans charisme et décevantes Le scénario convenu, bancal et court L'ambiance post-apocalyptique ratée L'aspect RPG qui n'a rien à faire là Pas de progression sauvegardée pour le joueur invité en coopération Gameplay Fluid et réactif. Beaucoup de canons ennemis et véhicules dans le jeu. Pas de pénurie des occasions uniques. Bons, divers visuels tout au long. Solide design audio. Structure de mission douteuse. Court sur le contenu de l'histoire. Par la suite en mouture-fest. Avant-postes encore Rock De comté de Hope charme Expéditions abondantes Hurk minime Storytelling bâclé Écrasante Push pour Microtransactions Jeu vidéo absurde Finale C'est joli Hope County 17 ans plus tard, et il y a encore des choses à faire. La progression, qui demande plus d'investissement. Le lance-scies, rigolo et utile. Les expéditions, pour changer un peu d'air. Le développement de la "base". Une histoire et des personnages sans grande saveur. Des qui auraient besoin de repos. Tout le monde n'aimera pas refaire les mêmes avant-postes pour progresser. Le combat au corps à corps, indigne. Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Des décors sublimes Un gameplay solide Le sound design superbe Le lance-scie Mais des maps recyclées Beaucoup de recyclage en fait Une histoire anecdotique Le duo d'antagonistes Système d'achat d'objets cosmétiques in-game ? Contre de la vraie monnaie ? Sérieux ? Grands méchants Homestead-mise à niveau est agréable La boucle classique de Far Cry est toujours très amusant Trop familier Microtransactions Grim Buggy et glitch Une approche crédible du post-apocalyptique Une direction artistique qui a ses moments Un gunplay toujours efficace Les expéditions et leurs grands niveaux Certaines situations aléatoires qui fonctionnent Un reskin de Far Cry 5 Le Light RPG qui dessert clairement le jeu Un monde ouvert qui fatigue avant d’avoir commencé Une seule arme exotique Plein de clichés d’écriture Des microtransactions partout L'univers coloré La map de suite ouverte Que ma Xbox S fatigue Vite redondant Peu inspiré Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Préexistante boucle d?exploration et de la progression est toujours convaincante Surprise superpuissances ajouter fantastiques nouveaux éléments pour lutter contre Expéditions de présenter quelques grands desseins de niveau Sensation de la mécanique de légèreté RPG redondante Réglage post-apocalyptique est sous-utilisée Intrigue et les personnages sont nettement insuffisantes C?est joli le Montana après l'Apocalypse Le lance-scies, c?est golri Le principe des expéditions L?absurdité des situations émergentes Mieux rythmé que Far Cry 5 Du post-apo un peu sage Le recyclage comme mécanique de jeu, trop méta Le simili RPG pas convaincant Trop de quêtes sans intérêt Les boss, antithèse du fun bugguée L?écriture laborieuse Le Montana post-apo Quelques fulgurances dans la direction artistique Les expéditions Les caches de survivalistes Un reskin de Far Cry 5 Les gunfights mous du genou Les barres de vie des ennemis? au secours Peu de nouveaux ajouts vraiment originaux Les méchantes sans charisme L? Mieux fini que le 5 Quelques moments à sauver La relecture de Hope County La facette RPG tue le gameplay Zéro effort sur l'écriture C'est vraiment l'épisode en trop [2/5] testé le 19/02/2019 - Test de Far Cry New Dawn sur PS4 Pro il est temps de mettre la licence en pause...[lire le test complet sur Numerama] Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. développement Solid de l?histoire et le monde appel audiovisuel expéditions croquantes recycle beaucoup de matériel du prédécesseur système de classement approximatif relativement faible ampleur -pas notéConsole CreaturesExpéditions Lanceur de lame de scie Boss battle contre les jumeaux Fin de partie avantages ajouter des mécanismes de jeu rafraîchissant Aucune mission d'histoire unique Histoire fade Conditions environnementales aurait dû être appliquées Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur. Pas de "Pour & Contre" trouvé chez ce testeur.
far cry 6 le rythme dans la peau